Nous assistons à une pièce de théâtre pathétique, une tragi-comédie, comme on dirait en littérature, mais avec des acteurs d’un amateurisme ahurissant, certains hommes de lettres ont décidé de pactiser avec le diable. Comme l’a dit un ancien président bien connu: “ Est-ce que ça dérange “.
La politique en 2025 frôle le scandale et l’ineptie, une situation jamais vue au paravant. Des partis politiques et des terroristes se retrouvent à la même table de négociation, une première dans la République.
Avant, on discutait officieusement avec les groupes armés, mais certains ont jugé bon d’institutionnaliser cette méthode. Rien de plus normal pour eux. Quelle absurdité! Le pire, c’est qu’ils essaient de banaliser cela.
“Ou allons-nous dans ce pays? “ aurait dit l’ancien sénateur Andris Riché. Je comprends enfin ces mots, près de dix ans plus tard, car la nationalité n’existe plus. L’éthique est devenu un concept banal, le scandale un mode de vie dans le sphère politique, et la philosophie de Machiavel semble être la doctrine de certains acteurs.
Diront-ils sûrement : « La fin justifie les moyens »? Quoi de mieux que de pactiser avec des terroristes pour renverser le pouvoir en place. L’important, c’est le résultat. Un modus operandi qui fait peur et qui va à l’encontre des idéaux de nos pères fondateurs : Dessalines, Petion, Christophe, etc.
Messieurs, sachez-le : l’histoire vous regarde, et jusqu’à ce jour, elle parlera de vous comme des renégats de la République. Certains ont choisi la politique, probablement pour que leurs noms restent éternels. Ne vous inquiétez pas, ils le seront, mais catégorisés aux côtés des gangsters. Vous l’avez toujours été mais cette fois vous quitter le stade de « gangsters à col blanc » pour devenir des gangsters tout court. Vous avez été rétrogradé, je dirais.
Ici nul ne peut se cacher. Le greffier du tribunal de l’histoire note. Chaque action , chaque prise de parole est observée, décortiquée. Et nous sommes à l’ère du numérique : Tout restera, rien ne s’effacera.
Le tribunal de l’histoire est en marche. À ceux qui sont au pouvoir, sachez que la nation vous observe. Changez la trajectoire, innovez et surprenez-nous. Moins de propagande, plus d’actions et si vous ratez le cap, l’opinion publique vous jugera aussi.
Un vent nouveau souffle dans la République. Cette fois-ci il ne s’agit pas non plus d’une opération de communication ou de propagande, mais de faits et d’actions concrètes. De bonnes nouvelles , enfin , dans un contexte où la société haïtienne fait face à des défis immenses , que seuls des hommes politiques réellement désireux de changement peuvent relever.
À la baguette c’est Lavalas.
Vingt ans plus tard , ses membres veulent réécrire l’histoire. S’agit il d’une utopie ou rêvons – nous ?
Peut-être est-il trop beau pour être vraie.
Dans le filet de la police nationale , qui semble avoir décidé de pêcher de gros poissons , plusieurs figures importantes ont été arrêtées. Et selon les dires , la pêche n’est pas encore terminé. Je me veux optimiste pour une fois.
Ma confiance ne repose pas sur les acteurs politiques actuels , qui ont déjà échoué , mais sur une prise de conscience collective et un désir de changer la trajectoire de l’histoire , malgré les erreurs du passé.
Magalie, Propane… Que de noms désormais sous les verrous.
Avec un brin de sarcasme, je dirais : Enfin, les “Mèt peyi” ou “Bandi legal” répondent de leurs actes. Faut-il espérer la fin de l’ère où la nomenklatura faisait ce qu’elle voulait ?
Le peuple veut un documentaire sur le changement en Haïti. Des têtes doivent tomber. Certes il est de mise de féliciter la DCPJ pour ses récentes avancées, mais nous voulons plus. Nous sommes gourmands : Continuez, arrêtez-les, jugez-les !
Cher CPT kaléidoscope politique, prenez le destin de la nation en main. Sachez que nul ne peut parler de persécution politique car tout moun ladann!
L’époque où les criminels se cachaient derrière la scène politique est révolue. Allez-y, mare yo, et rétablissez- la sécurité pour permettre l’organisation des élections, ou barrez-vous
Tchedly Jackson Alexis